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Le syndrome Marie Trintignant, "elle est au dessus de ça".

Le 01/04/2019

Dans JUSTICE.

Violences conjugales, en milieu artistique ? PAS EN MON NOM….

 Au nom de la psychiatrie, par contre, aucun problème, eux, ça ne leur pose, mais alors, absolument aucun problème de conscience…

 C’est quand même dingue, ça, non ?

On va bien appeler les choses par leur nom, d’accord ?

  On va parler, du fabuleux couple artistique, Niel Aubin Fersen….

 En vérité, le coup, qu’on vient de me jouer, là, au tribunal de Rouen, pour tenter de justifier, le fait, qu’on me maintiendrait sous curatelle renforcée, est d’une perversité, dont jamais, au grand jamais, je n’arai soupçonné, que Fersen,  lui-même, mais aussi, la psychiatrie, et la curatelle, auraient chacun, à sa façon, été capables, de se rendre complice….

 La curatelle, qui prétendait, elle,  l’avant dernière fois,  que devant la juge,  la position, de l’UDAF, serait entièrement neutre…

 Pour la dernière fois, virer  sa cuti, et tout compte fait, prétendre que la curatelle simple, ferait tout compte fait bien l’affaire…

 Et enfin, la cerise, sur le gâteau, l’experte psychiatre, qui prétend qu’au prétexte, que je suis plus intelligente que la normale, et que je sais tenir mes comptes, considère que la curatelle renforcée, doit être maintenue….

 Et la juge de conclure,  que si la psychiatre dit ça, elle suit la suit, elle…

 Et pourquoi donc ?

 Parce que le stratagème, d’une perversité sans nom, a été arrangé, depuis des semaines, et des semaines.

 Pour me manipuler, ces derniers temps, il avait été convenu, par la juge des tutelles antérieure, que la curatrice, devait, mettre sur pied, ce qu’il fallait, au niveau bancaire,  de telle sorte, que je puisse ainsi, voir l’argent de mes charges,  versé sur mon compte courant,  de telle sorte que je paie mes charges, afin de s’assurer, que  je serai capable,  de tenir mes comptes…..

 Deja, ce prétexte, ne tient absolument pas la route, puisque les raisons, pour lesquelles, ma tutelles, avaient té mise sur pied, il y a 9 ans, n’avaient jamais eu rien à voir, avec un quelconque problème de gestion de mon argent.

 Mais enfin, objectivement, « passons », nous dirons, qu’ils s doivent tenir, une sorte de protocole juridique, et que donc, ils me l’appliquent……

 Non, le stratagème, d’une incroyable perversité, réside dans le fait, qu‘on ait demandé à la responsable des tutelles, à la Caisse d’Epargne, depuis des mois, que ces démarches, auraient du être faites, ne laisser le moindre courrier, de la tutelle, lettre morte….

 Ainsi, il semblerait, que la curatelle ait fait, elle, son job, mais que c’est la Caisse d’Epargne, qui ne donne pas suite….

 De cette façon, la juge, aussi perverse, dans sa manipulation, a argué, alors que ce protocole de préparation, au passage de la curatelle renforcée, à la curatelle simple, ne pourrait pas se faire, sous ce seul prétexte….

 Alors, la question, est la suivante :

 Qui me ment ?

Est-ce la curatelle, en qui je l n’ai plus la moindre confiance ?

 Est-ce  la guichetière, qui a cœur, de m’informer qu’elle n’a pas à avoir la moindre conversation, avec moi, parce que sous curatelle, ou sous tutelle, leur seul interlocuteur, c’est la tuteur ou le curateur, mais en aucun cas,  le client ?

 Au-delà,  de la démarche, qui tend à voir la psychiatrie, se rendre coupable,  de manipulation,  dont je suis bien loin, d’avoir fini de tailler un joli costume….

 Il est un point fondamental, qui leur échappe complètement, réside, dans la raison profonde, qui justifierait, qu’ils se comportent ainsi…

 Je parle bien au conditionnel, comme vous pouvez le voir ? parce que ce qui se passe, au plus profond de l’âme d’un artistes, ça leur échappe complètement….

 Et oui ? mais pas à moi, et encore moins, à Fersen, qui n’a plus grand-chose, à se mettre sous la dent, que mon plus magistral silence, et ce, « pensez donc », entièrement déconnectée, non pas de l’actualité, pas d’avantage,  de l’humanité, mais uniquement et strictement, sur le plan technique…

 Ainsi, impossible, pour lui, de savoir, ni comment je vais, ni ce que je fais, et encore moins, ce que je fais de mes journées, ou ce que je pense…

 L’objectif, en somme, est le suivant…

 « On va bien lui foutre sur la gueule, mais alors, vraiment, le plus possible, la trahir de toutes les façons possibles, et imaginables, et puis comme ça, on va bien voir,  selon quel stratagème, elle va se relever….

 Ha, mais lui »il ne doute de rien », hein, soyez sans crainte…

 Il demande à ses potes chanteurs, de lui ficeler, des chansons, espérant, que je broierai ça comme du petit lait, version, « j’ai tout fait comme il faut, mais  je fais de mon mieux, il faut me pardonner, et aller de l’avant »….

 Ça va 5mn, les conneries, hein, il y a belle lurette, qu’en chansons, j’entends tout et n’importe quoi, et qu’on ne me la fait pas, ou en tout cas, ai je suffisamment de pudeur, pur pleurer en silence, devant  les chansons, qui m’ont té si chères, il y a bien longtemps, et qu’on ait mis autant de soin, à diriger contre moi, de la façon la plus sadique, et la plus perverse qui soit.

Au sujet du couple artistique, que nous sommes sensés former, enfin, c’est la belle histoire, que lui, raconte, à droite à gauche, à qui veut bien l’entendre, et que surtout, on cherche à colporter, pour que eux, du côté artistique, se donnent bonne conscience…. Soyez sans crainte, mon avocat, lui, même, qui brille autant par son silence, que par sa prestance, s’es til aventuré, à me dire, un jour.

 Décidément, ils ne doutent de rien… « Mais si, voyons, vous êtes un couple, à part entière, si si…

 Incroyable….

Et depuis quand, dites moi, au sein d’un couple artistique,  l’un se permet il, d’être le coach de l’autre, sans jamais avoir été sollicité, pour l’être ?

 Depuis quand ?

 Depuis quand, au sein d’un couple artistique, celui, qui se prend pour mon coach, n’a  t il, même pas le courage, d’oser me rencontrer, pour m’adresser la parole ?

 Depuis quand,  avec la complicité de la poste (raison d’état oblige), s’autorise t il, a laisser croire que le pli recommandé, que je lui adresse,  ne peut lui parvenir, « parce que le destinataire n’habite pas l’adresse », alors, que la semaine suivante, il me renvoie, une autre lettre, « retour à l’envoyeur », cette fois, avec la mention, « lettre refusée »…

 Mais au-delà, de cette raison d’etat, qui lui permet, d’agir vis-à-vis de moi,  de la façon, la plus perverse qui soit, le plus tordu, je crois, réside, dans le fait, de voir, qu’il soit assez con, pour imaginer, une seule seconde, que sous prétexte, qu’en agissant ainsi, je me mettrai à repeindre….

 Ben oui, c’est sûr, mais comme je suis bête…  Moi, bête, ok, mais lui, con, dans une telle proportion, franchement, là, il m’épate…..

  C’est aussi con, que de dire, à un auteur, compositeur interprète, « tu composeras de 5h à 7h, pas avant, et pas après…..

 On ne commande pas un artiste, comme on appuie sur un interrupteur… Ou bien alors, ça n’est pas un artiste….

 En attendant moi, je n’ai plus confiance en personne….   Et qu’on soit assez con, et assez irresponsable, aujourd’hui, pour penser qu’il suffit, pour un artiste, de se donner à son art, pour que tout rentre dans l’ordre,  et qu’en psychiatrie, surtout, on soit assez stupide, pour le croire, est à mes yeux, la pire des insultes, qu’on puisse me faire, et qu’on me fait…

 

 Mais c’est vrai, tiens, après tout…

 Marie Trintignan, est morte dans les conditions que vous savez….

  Le fait, qu’elle ait pris des coups, était connu, dans le milieu artistique, certains, certaines, plus encore, s’en étaient émus….

 Et quelqu’un, avait cru bon de commenter,  par les mots suivants…

 « Marie, mais elle enfin, elle est au dessus de ça »…..

  Thomas Fersen, l’avait choisie pour faire un duo, c’est elle,  qui chantait avec lui, « pièce montée des grands jours ».

  Au même moment, je lui recommandais, de faire un duo,  avec  elle, parce qu’elle avait fait la une, dans psychologie magasine, et que je le lisais, mais je ne sais si c’est moi qui le lui ait dit, et qu’il l’ait fait, ou si c’était une coïncidence, j’en sais rien, si vous voulez sa voir, demandez lui.

  Moi, il ne m’a jamais adressé la parole, sous son vrai nom, quasiment, mais vous, avec un peu de chance, il vous le dira.

  Ainsi, la psychiatrie, trouve telle parfaitement légitime, qu’on me piétine ainsi…

 Alors, mesdames, si demain,  votre mari, vous fout sur la gueule,  c’est assez simple, hein, vous arrêtez de geindre, d’accord, parce que les pleurnicheuse, ça suffit….

 Vous attendez, qu’il se casse, et puis vous sortez votre chevalet, d’accord ?

 C’est la nouvelle méthode préconisée, par l’art thérapie, je suppose….

 Ainsi, au seul prétexte, qu’il s’agit du milieu artistique, il est donc, parfaitement admis, qu’au sein d’un couple, on se fasse les pires des saloperies, avec pour seul excuse, et la bénédiction de la psychiatrie, que ça serait un bon moyen, de suicider la créativité…..

 Mais si, vous savez, le fameux, « mais enfin, c’est pour ton bien »… vous connaissez, n’est ce pas ?

 C’est comme ça, que pratiquaient, les adeptes, et pratiquent encore, les parents, adeptes du châtiment corporel….

 On te met, une claque dans la gueule, et puis on rajoute, « c’est pour ton bien…

 Excusez, moi, j’aimerai tellement en rire…

 Mais ça non plus, je n’y arrive pas ? « franchement désolée »….

 Alors, pour ce qui est d’être « au dessus de ça », hein, vous m’excuserez, non, j’ai pas piscine, mais ça se fera sans moi…

 Décidément…

   Sinon,  assez souvent, quand Thomas Fersen, planqué derrière, un pseudo, (plus d’une centaine, à ce jour, je suppose), pour me demander comment je vais,  souvent, je lui réponds ceci : « TA GUEULE….

 C’est vous dire, à quel point, le couple artistique, est aux mieux.

Et si Marie Trintignant, avait survécu....

Il m'arrive ces temps ci, de me poser la question. ESt ce qu'elle aurait gardé des sequelles ? ESt ce qu'elle aurait été un legume ?

 Est ce que les violences qu'elle subissait, aurait fini par fuiter ? Ou bien est ce que l'entourage de son bourreau, aurait veillé au grain, pour que ça ne sorte pas ?

 dans l'hypothèse où elle n'aurait pas eu de sequelles, suffisemment graves, pour mettre sa vie en danger, quelle aurait été sa posture, face aux affaires "me too" ?

 Est ce qu'elle aurait milité, ou pas ?Ou est ce qu'elle aurait eu tellement honte, qu'elle aurait préféré se taire ?

 Mais la question, qui me taraude, c'est de me demnder, quelle iage, elle se serait fait, du "couple", Thomas Fersen, francoise Niel Aubin... Alors, ça, y'a rien à faire, c'est une question, à laquele helas, je n'aurai jamais de reponse, et c'est bien dommage.

 Oui, parce que pour ceux, qui ne sauraient pas encore, selon mon avocat, il parait, qu'on serait un couple, c'est assez amusant, non ? Je ne sais pas, quel sont ses criteres, à lui, pour en decider ainsi, et j'ai vraient hâte, qu'il me l'explique.

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