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HERMINE.

Le 07/01/2016

Dans JUSTICE.

HERMINE.

http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19557793&cfilm=231600.html

   Oui, l'idée est venue, parce qu'o avait, dans la famille recupéré une sorte de toge en hermine, lors d'un héritage, bouffée par les pites d'ailleurs; je ne sais d'où elle venait.

    J’ai vraiment beaucoup aimé ce film.

    Il décrit le contexte psychologique  d’un tribunal, ors procès, et pendant le procès, et notamment, comment est vécu, de l’intérieur, le rôle des jurés…..

   Je n’ai pas compris, toutes les subtilités du fonctionnement, c’est vrai (oui, c’était expliqué, mais j’ai dormi, depuis et surtout je n’i pas que ça à penser).

   J’ai aimé, l’aquarelliste, qui peint les portraits, puisque les photos sont interdites.

   J’aime la subtilité  des portraits psychologiques, les attitudes vachardes  des collègues, ou des autres professionnels, qui interviennent sur un même procès, alors, que le juge, en est  le chef d’orchestre, en quelques sorte, et comment sa vulnérabilités, et surtout son isolement, psychologique, est si bien mis en valeur….

  J’ai aimé, comment la similitude avec un spectacle, est montrée, tout en sobriété, et pourtant, de façon très efficace.

   Enfin, j’ai surtout aimé, comment  cette femme, qui  l’a soigné, lui, se retrouve  face à lui, dans des circonstances, troublantes puisque professionnelles, alors, qu’elle l’avait eu pour patient, lors d’une opération,  assez sérieuse, pour que sa vie, ait été mise en danger……

   Mettant ainsi en valeur, de la façon la plus magistrale, le fait que la suprématie psychologique, d’un juge, serait, ou plutôt, est  véritablement, quelque chose  d’on ne peut plus « relatif ».

   Cette observation  va, ça va sans dire, pour beaucoup de professions,  qui consécutivement au fait que ces métiers  aient nécessité, de très longues années d’études, une fois les diplômes obtenus, certains ont l’absolue certitude  d’être les nombrils du monde…..

    J’ai déjà eu l’occasion d’en observer de particulièrement beaux spécimens, aux abords de la gare Saint Lazare, alors, qu’accidentellement, j’avais du faire la manche……

   Et une fois rentrée chez moi, j’étais fort pensive, sur le statut du mâle dominant, jouissant du droit d’ainesse  psychologique, en milieu aisé…..

 « Mon Dieu , pauvre France »…. Aussi diplômé et aussi con,  sur une seule personne,  je remerciais le ciel, de n’avoir pas mis au monde de mâle, pour qu’il ne courre pas ce risque là !

    Qu’on se rassure, ils ne sont pas tous aussi cons, il arrive accidentellement, que certaines poules couveuses, à Neuilly ou ailleurs,  élèvent leurs coquelets, de façon plus subtile, mais je vous jure que mes conclusions »  ‘étaient pas hasardeuses, mais hélas, bien réelles.  

   Mais puisqu’on parle, de la « relative suprématie de certaines professions », désolée, mais je ne peux décidément pas occulter, le cas des experts psychiatres,  qui sont responsables  du fait, que je sois sous tutelle, depuis des années, alors, que sans aucun complexe,  on est venu me chercher, pour que je monte moi, au créneau,  non seulement, pour leur sauver la mise, mais aussi, pour proposer des alternatives, côté Justice pour que ça tourne plus rond…..

   Alors, on va faire les choses sobrement, et sans trop s’énerver, hein, « vos conneries, ça commence à bien faire ».

   Pour conclure, je vous recommande une chanson que j’ai inspirée, tiens.

 
    Pour ce qui concerne le procès, dont il est question, et qui n'est pas le sujet principal du film, il s'agit dun jeune couple, qui tue accidentellement son enfant en bas age.
 
   C'est un cas qui est interressant, qui met en évidence, le fait, que certains jeunes couples, sont démunis, devant le fait, de se découvrir parents pour la première fois, face au cas d'un bébé qui ne fait que pleurer.
 
 Ca évoque inevittablement le problème des bébés secoués.
 
  Je pense moi, qu'il faut à présent, rebooster les CROIX ROUGE partout et donner plus de moyen, aux PMI, protections maternelles et infantiles, et imposer le suivi, des nourrissons, par la PMI, et pas uniquement selon le protocole habituel, dès qu'en maternité, le moindre soupçon de précarité sociale, et (ou) psychologique, est observé. Il faut que ce soit gratuit, bien sûr, mais je vais y revenir.
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