« Insulte à la gastronomie française ».
Oui, on peut parfaitement dire cela en effet.
A l’heure où l’on est en mesure de revendiquer au sein du gouvernement d’être probablement le pays au monde où l’être humain est le mieux respecté, et même si c’est loin d’être parfait, le moins qu’on puisse dire c’est que ça fait désordre.
Voyez plutôt.
Pour ma part je tiens à préciser que si je n’ai quasiment jamais parlé de cuisine encore depuis bien des années, c’est uniquement non pas parce que j’ai un souci avec l’alimentation ou la cuisine mais bel et bien uniquement parce que dans les faits je suis toujours sous tutelle donc avec 60€ par semaine essence comprise pour me nourrir et pire encore « sortir » j’entends par là théâtre ou cinéma.
C’est au point, que je ne puis même revendiquer de mettre en pratique, le simple fait de suivre un quelconque régime véritablement puisque par définition comme tous les gens pauvres, je suis bien plus soucieuse, de trouver une stratégie alimentaire de «satiété » plutôt que de plaisir……
Ou si vous préférez, pour parler plu directement « trouver le moyen de me caler l’estomac, à moindre frais ».
Je précise que mon intention en disant cela ne tend pas à régler des comptes parce que quand j’ai merde à dire que ce soit à Thomas Fersen ou bien à François Hollande je n’ai jamais eu besoin de personne pour me tenir de porte voie….
Mais simplement connaissant cela, je précise juste que mon regard, sur le phénomène « culture gastronomique étoilée » n’en est que plus affuté.
En fait moi j’adore la bouffe !
Non pas nécessairement les énormes tablées, ou même si de temps en temps « ça fait pas de mal », je suis plutôt pour les trucs organisés au dernier moment, version « bonne franquette », mais j’invite « avec cœur »…..
Vous mangerez de toute façon ce que j’aurai moi décidé et si jamais vous « fêtes » chier, et bien je vous pince le nez pour enfourner. J’espère que j’ai été assez claire.
De toute façon moi je suis comme « roblochon », je vous ferai tous marcher A LA BAGUETTE comme Michel Serrault au grand échiquier.
Oui je sais cette histoire de harcèlement en milieu culinaire avec « des morceaux de harcèlement à l’étouffée » n’est vraiment pas drôle, j’en conviens… Mais si vous avez envie que j’y mette mon grain de sel, sans passer par « dédé la saumure », qui est soit dit en passant à Audiard, la plus belle insulte que le grand banditisme n’ait jamais fait, il va falloir accepter d’ingurgiter mon Humour plus que douteux, peut être au gout de certains, parce que chez moi c’est comme ça que ça fonctionne ou si vous préférez, « tant que j’ai pas sorti la somme de conneries nécessaires à un bon traitement du dossier, je ne suis pas en mesure de travailler.….
BREF.
Pour information je précise que ce problème de chez et d’étoiles dans tel guide, etc sont des observations que j’ai faites moi, il y a bien des années à Thomas qui s’est empressé en Artiste transi d’attention pour sa muse, de mettre en pratique….
De quelle façon….
Et bien pour commencer par un guide des bistrots parisiens qui étaient sorti il y a quelques années, dont je n’ai plus les références.
Le principe étant qu’à la base, un restaurateur doit (et non pas devrait) avoir pour principale motif de sa profession de trouver véritablement du plaisir, à faire la cuisine pour ses clients.
Oui je sais je sais je sais qu’on ne sait jamais. Mais là, pour le coup, je vous autorise à ranger ça du côté des certitudes.
Et oui, ce qui importe c’est de faire à manger à des gens, et de ‘ y trouver du plaisir sur le plan psychologique…..
Ha, c’est sûr, VU SOUS CET ANGLE ? d’un seul coup la gastronomie française en prend je pense un sacré coup dans la gueule..
Et bien vous vous imaginez quoi ?
Qu’avec 60€, par semaine, je vais m’amuser moi, à caresser dans le sens du poil, une profession qui si elle ne symbolise pas nécessairement les couches sociales, les plus friquée et honteusement favorisées de la planète entière, n’en reste pas moins quoi, qu’on en dise, et malgré elle, peut être, le symbole d’un bien être social minimum qui autorise d’avoir la prétention de manger en dehors de chez soi…. Est-ce bien nécessaire que je développe la notion de « chez soi » ou bien puis je prétendre m’en passer » ????
Je crois que je peux m’en passer effectivement mais pour ça je vus donne un lien qui ne manquera pas de regarder les ETOILES sous un angle pour le moins propice.
Et pendant qu’on y est on ne va pas vous lâcher comme ça.
Alors pour ce qui concerne l’inspiration sur le sujet c’est moi par ces propos que j’ai tenus, je vous signale aussi, le film « comme un chef », dont voici le lien.
http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19304547&cfilm=193511.html
J’ai vu ces jours derniers que Mickaël Youn revêtait ces temps derniers, un merveilleux costume de bite grandeur nature, ce qui m’a fait d’autant plus hurlé de rire, que ça m’a ramené à mon calligramme sur la tout Eiffel, avant-hier dont voici le lien.
Bon là, en temps que mère poule je me dois de faire quelques remarques sur ton costume Mickaël….
Quand il fait froid non somme bien d’accord ça doit tenir bien chaud…
Mais à moins que ce costume ne soit port en extérieur donc, en plein hier, je pense que ça doit tenir chaud en intérieur, pour les plateaux télé, ou bien les séances petits fours…
Ensuite je tiens aussi à te faire remarquer qu’il serait bon de veiller à ce que cette fourrure synthétique contre ta peau soit hypo allergénique de telle sorte que tu ne sois pas pris d’une forme d’allergie cul…. Tannée.
Vous aurez remarque avec quelle habilité j’arrive au cul en parlant d’une bite en fourrure, je suis franchement désolée, je ne sais pas pour quelle raison. Mais toujours est il que c’est bien la première fois que je vois sur un plateau télé, une bite en fourrure avec des bras… Mais que ne t’es tu donc pas sacrifié et demandé à ce qu’on te la coupe, enfin te les coupe, les bras, pour faire référence à Philippe Croizon….
Mais j’apprécie grandement je dois bien l’avouer le fait d’avoir pu constater qu’avec un testicule en fourrure tu ais pu ainsi t’adapter à mes éléphantiasis… comme quoi les costumières sont décidément pleines d’imagination quand on parle de testicules, ce qui en dit bien long sur l’avenir du féminisme, dans le milieu des « petites mains ».
En cours d'ecriture.