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estime de soi

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Gouvernance Macron, mes inquiétudes, sur l'Education Nationale.

Le 23/05/2017

  S'il est un ministère sous Macron qui inspire de l'inquiétude, à tous les professionnels, qui interviennent à tous les niveaux, c'est bien celui de l'Education Nationale.

  Certes, j'ai bien compris, que notre président de la République, avait l'intention de diviser en deux, les classes de Maternelles, et de CP, afin d'alléger les classes, en nombre d'élèves, mais comme l'a précisement expliqué, Naja Vallaud Belkacem, à OEPC, "on est en droit de se demander par quel miracle, il va permettre sur un plan simplement logistique, de multiplier les classes de cours".

  Pour ce qui concerne les embauches des AVS (aides à la vie scolaires), nous sommes parfaitement d'accord, ainsi que sur la prise en charge de l'Autisme.

  Mais en dehors, de ces réformes, que nous espérons voir tenues, et du fait que la seule qui semble devoir être retenue, serait l'apprentissage d'une seconde langue dès la cinquième, il semble bien que le nouveau ministre, souhaite donner une coloration purement élitiste, à l'Education Nationale, au détriment, des éléves les moins favorisés, ce qui me semble, extrêmement inquiétant. 

  Lors de cette émission de OEPC, Vanessa Burggraf et Naja Vallaud Belkhacem, étaient toutes les deux, à couteaux tirés, mais je pense que la lecture, qu'on peut en faire, à posteriori, n'est pas necessairement, celle qu'on pouvait faire, sur le coup.

  L'une arguait de son expérience de mère, soit, mais d'une éléve, probablement pas en echec scolaire, et probablement pas d'aventage, scolarisée, dans une zone sensible, et l'autre, notre ancienne ministre, sur le défensive, non pas parce qu'elle avait peur de ne pas être élue, comme député, prochainement, mais plutôt, observant le désastre à venir, de voir, son travail, peut être encore imparfait, c'est vrai, mais courageusement mis en oeuvre, pour prendre la défense, des plus mal lotis, en matière d'éducation....

 Oui, qu'elle l'ait mauvaise, notre ancienne ministre, je peux le comprendre. je dirai même, "c'est un moindre mal".

  Si je suis à l'origine de la réforme des rythmes scolaires, quelque soit l'avenir de cette réforme, je tiens à préciser que je vais rédiger un ouvrage, sur le sujet, parce que c'est une réforme courageuse, qui a eu pour objectif, de proposer une alternative au éléves, de telle sorte, qu'ils sortent du cursus scolaire, mieux armés, dans leur vie, en général, et par conséquent, proposant "en Hamont",  de se forger des armes véritables, et parfaitement palpables, contre d'une part, l'echec scolaire, mais par voie de conséquence, le décrochage, aussi....

  Et ça n'est certes pas en ruinant ce travail aussi courageux et colossal, que notre nouveau ministre trouvera, une solution aux problèmes de l'éducation nationale.

 Les rythmes scolaires, vis à vis de moi, on a choisi, stratégiquement, de glisser ça "sous le tapis"... Parfait.

  Quand certains parents aujourd'hui, parlent contre les rythmes scolaires,  ce sont toujours, soit des parents, qui ont a chance d'avoir des enfants, qui ont de très bonnes notes, et qu'ils considèrent donc, comme des bêtes de concours,  (désolée, si je choque, mais c'est le mot qui convient pour qualifier, ce que l'on nomme la méritocratie), ou ils parlent, alors, de leurs problèmes d'organisation de leurs plannings, à eux....

 Seul l'argument de la fatigue, pour moi, est recevable.

  Mais l'école n'a pas pour vocation, d'être une garderie, et si certains de ces arguments, peuvent être entendables, en aucune façon, ils ne doivent avoir la priorité, sur l'intérêt des enfants, ceux là même à qui l'ecole, est dédiée, en premier lieu.

  Pour ce qui concerne l'observation, qui est faite, sur la langue française, et l'orthographe, je signale simplement, que c'est un problème de société, lié à l'utilisation des SMS, qui en est en grande partie responsable, c'est un problème de société, et non un problème d'ordre scolaire, et qu'ensuite, un foyer, où il n'ya pas de livre, ou si peu, et où les enfants, ne voient pas leurs parents, lire, ou fréquenter la bobliothèque, seront moins enclins, à lire, eux aussi....

  Je veux dire par là, qu'on compte toujours sur l'école, pour compenser les plaies, de notre société, mais L'ECOLE NE PEUT PAS TOUT !

  Et que de renverser la table de cours, quand on entre dans le ministère de l'Education nationale, comme semble vouloir le faire, notre nouveau ministre, me semble, être un message extrêmement inquiétant, envoyé d'une part, au corps enseignant, mais aussi, aux parents.

http://www.francetvinfo.fr/societe/education/reforme-du-college/latin-grec-classes-bilangues-ce-que-veut-le-nouveau-ministre-de-l-education_2203004.html

En cours de rédaction.