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L'affaire des poussins broyés.

Le 04/02/2016

Dans CULTURE, AGRICULTURE. A moins que tout compte fait ça ne soit Sylvie.

 On pourrait croire à un titre de science fiction, et pourttant, il n'en est rien.

https://blog.l214.com/2016/02/03/poussins-etouffes-broyes-vis-fin-30000-euros-damende-6-mois-sursis-requis?utm_source=Association+L214&utm_campaign=f838a2b427-lettre_d_info_proc_s_couvoir2_4_2016&utm_medium=email&utm_term=0_2859894380-f838a2b427-195877209

   Moi qui suis en train d'ecrire un livre sur l'aviculture amateur,  j'en avais parlé, mais je dois donner la suitede l'affaire. j'en ai parlé ailleurs, sur mon site, mais je ne retrouve pas où.

  Ce qui moi, me navre au plus haut point, c'est deja que la pratique d'euthanasier, ho, pardon, tuer, ou assassiner des poussins, soit autorisée par la loi.. Pour moi, c'est inconcevable.

  Mais entendons nous bien, je n suis pas en train de vous faire le coup de la citadine, en dehors du coût des realités economiques, d'une filière, quia ait deja beaucoup de mal, à s'en sortir...

   Non, je connais ces réalités là,  et c'est bien pour cette raison, que je suis aussi choquée, c'est que la seule et unique raison qui justifie qu'on autorise de telles pratiques, réside, dans le fait, que la souche avicole utilisée pour produire soit des poules pondeuses, soit des poulet, de chair, ne soit rentable, que pour l'un des deux sexes, et pas l'autre !

  Ce qui est non sens incroyable, puisque les aviculteurs savent pertinamment, que d'autres souches avicoles, elles, sont tout aussi rentables, les deux sexes confondus, même si pour des raisons de destination, chair, ou ponte, ce ne sont pas les m^me élevages, qui vont les élever  et les exploiter.

  Si vous allez sur un marché, ici en Normandie, à Buchy, notamment, et que vous souhaitez acheter des volailles pour les engraisser, ou avoir des pondeuses, les races sont en vente, coq et poulettes, je lesais, parce que j'avais posé la question.

  Aujourd'hui, on est parfaitement capables d'exploiter certaines souches, que l'on appelle "à deux fins", c'est à dire, chair et ponte, car elles sont rentables.

  D'autre part, dans les races anciennes, comme la Pavilly, ou la Gournay, certaines sont tout à fait satisfaisantes, et font l'objet d'un début d'élevage, et de filière, ici, en Normandie.

J'en parle dans cette video:

 
 En ce qui concerne mon livre sur l'aviculture, je precise qu'il est teminé, ne me reste plus qu'à bosser, sur l'aviculture, en dehors de nos frontières, où j'ai un projetqui me tient à coeur, mais je dois commencer par aller fouiller sur le sujet, puis je vous en dirai plus.
 
 
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