Un cas d'ecole, la villa de Michel Drucker.
Bon et bien voilà qui finit bien. Je ne connais pas le projet, mais si j'étais lui, j'essaierai de me débrouiller pour que la villa soit par les matériaux, et le style, la plus conforme à l'architecture locale possible, ce qui ne signifie pas qu'elle ne puisse pas être contemporaine. Et Comme ça les susceptibilités seraient amoindries.
Enfin cette théorie, pour moi, devrait être appliquée aussi souvent que possible. Mais je précise que j'ai un doute par contre sur le fait qu'il soit bienvenu de l'imposer par la loi. Mieux vaudrait une incitation d'ordre fiscale par exemple que de l'imposer.
Dimanche 5 juillet 2015.
La maison France 5.
Pour commencer je tiens à faire une mise au point relativement à cette émission, que je ne regarde plus depuis plusieurs années, et je m'en explique.
Avant de décider de quitter l'homme que j'avais épousé il y a plus de trente ans, nous vivions dans un pavillon qui nous avions fait construire.
Jusqu'à ce que je parte de cette maison, pour venir vivre ici à sainte Austreberthe dans le village qui m'a vu naître il y a cinq ans, j'etais une inconditionnelle de cette émission, parce que j'y trouvais artistiquement, tout ce que j'aimais, c'est à dire, toute la branche artistique, relative à ce qui touche la décoration, l'architecture, avec une certaine prédisposition à aller explorer justement ce qui moi m'a toujours fascinée véritablement, c'est à dire explorer et tenter de comprendre notamment les modes, en matière d'architecture ou de formes artistiques, et notamment les croisements qui existent bel et bien entre elles.
Ors, assez vite, quand je suis arrivée dans la petite maison que j'habite depuis 5 ans ici, la multitude de sujets extrêmment divers sur lesquels je travaillais, alliée au fait que je sois dans un état de relative pauvreté, dans laquelle ma tutelle me laisse depuis 5 ans, font qu'intellectuellement, pour moi, il m'était impossible de regarder cette émission, parce que la frustration que je resentais artitiquement, m'incitais à m'interdire de la regarder dans le seul but de me protéger.
Pour mieux comprendre je vais vous donner un exemple pour parvenir à mieux me faire comprendre.
Je suis en train de dépenser un énergie assez importante, à bosser sur le problèmes des SDF, ou des migrants, ou bien sur la carences des logements sociaux ici en France....
Comment pouvez vous concevoir intellectullement qu'il soit envisageable que je puisse faire cohabiter le fait que je sois concentrée sur le problème social, dont je vous parle et en même temps, me sentir disponible, pour effectivement rester sensible, à ce type d'émission ?
Non, vous aurez beau retourner le problème en tout sens, c'est juste humainement parfaitement impossible.
C'est uniquement pour cette raison en fait que depuis des années, je m'interdis moi, de regarder cette excellente émission.
Je précise que je ne suis absolument pas en train de mépriser ce travail, ou les professionnels qui travaillent dans ces secteurs, que ce soit dans les médias ou sur place, mais juste d'expliquer que je suis une personne normale, bien plus que certains ne le pensent d'ailleurs, il me semble et qu'à ce titre, il y a certains centres d'intérêt qui sont rigoureusement incompatibles, avec certains statuts sociaux ou juridiques. Je ne pense qu'il soit necessaire que je developpe.
Quoi qu'il en soit, donc, aujourd'hui, je dois retourner voir le début, parce que je crois que j'ai du rater le premier quart d'heure.
Aujourd'hui, donc, l'émission était une spéciale CHAMONIX. Le guide était André Manoukian, animateur à france Inter, avec tout ce que celà implique, que ce soit pour moi ou pour Thomas Fersen.
Je vous donne le lien.
http://www.franceinter.fr/emission-partons-en-live
Je copie colle mon commentaire.