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Connaissez vous "advtutelles" ?

Le 16/07/2018

http://www.advttutelles.com/p/advt-presentation.html

Mise en garde :

 Je trouve cette mise en garde judicieuse, j'explique pourquoi.

 "Beaucoup de gens se tournent vers une association en espérant que celle-ci résoudra leur petit problème personnel.

L'Association de Défense des Victimes des Tutelles, sachez-le, ne résoudra pas votre petit problème personnel  avec sa petite baguette magique...  Ce serait malhonnête de vous le laisser croire.

 Et oui, car le jugement de sa propre situation, est un jugement subjectif, et pas objectif; il arrive quelquefois, que sur certains points, on ait le sentiment d'être abusé alors, qu'objectivement ça n'est pas le cas.

  Quand on veut combattre un ennemi il faut d'abord avoir une stratégie et pour ce il faut analyser la situation et se fatiguer un peu les méninges...Et oui, je sais helas, ce que c'est et je ne suis pas encore quitte.

  Pour nous il est totalement illusoire et dérisoire de prétendre résoudre les problèmes au cas par cas, il est impossible, à mon avis, de trouver une solution à votre problème si vous n'attaquez pas le système tutélaire dans sa globalité... et pour le bien de TOUS !

  Si vous n'êtes pas d'accord avec ce préambule, si vous ne vous intéressez qu'à la résolution de VOTRE cas personnel, inutile de vous inscrire.

  En revanche, si vous souhaitez combattre le système tutélaire dans sa globalité  parce qu'il vous semble monstrueux, barbare, inhumain et archaïque soyez les bienvenus et cliquez sur Fonctionnement de l'Association   pour en savoir plus sur nos actions.

Comme le lien precedent est neant, je pose, un autre ien, du même site, qui donne un  éclairage salutaire.http://www.advttutelles.com/p/lassociation-advt-et-les-avocats.html?showComment=1624511626722

  Mon commentaire.

  Je trouve cette mise en garde, necessaire, effectivement, parce qu'il existe des situations, comme dans le cas certaines pathologies mentales, par exemple, où la cause qui ait généré la mise sous tutelle, soit niée par le patient, ce qu'on appelle le déni... La conséquence alors, réside dans le fait que le malentendu est alors permanent.

  Un énorme souci, de toute façon, réside dans le fait, que les tuteurs, sont généralement des handicapés de la communication, alors, que souvent, le simple fait de maintenir le fil du dialogue, suffit à simplifier bien des malentendus entre les deux partis.

  Le problème aujourd'hui, réside dans le fait, que ces mesures de protection, sont souvent vécues comme une véritable torture psychologique, qui finit par causer une forme de distortion, de la perception de sa propre situation, qui a pour effet qu'on finit par ne même plus être capable d'envisager d'observer le problème sur le plan sociétal et juridique, mais uniquement, sur le plan strictement personnel...
  
Logique, non  ? On ne peut se concentrer à lécher ses propres plaies, et se préoccuper de celles des autres. Oui, je sais, certains prétendent, qu'on y parvient fort bien, grossière erreur, c'est là, mettre la charrue avant les boeufs...

 On veille d'abord à sa situation personnelle, et ensuite, on s'occupe des autres, faire l'inverse, c'est renoncer à son propre equilibre.

 Lettre ouverte à l'UDAF de Haute Normandie. (16 juillet 2018).

  A la question, "pourquoi, est ce que je ne lave pas mon linge en famille", la réponse est simple, l'UDAF et moi jusqu'à preuve du contraite, n'avons pas gardé les cochons ensembles, ni d'aventage les marcassins.

  Ensuite, à chaque fois que je m'adresse à eux, jamais, ces gens ne daignent me répondre de quelque façon que ce soit. Ils doivent considérer je suppose, que je n'en suis pas digne, ou bien  que je suis une sous citoyenne, au seul prétexte, que juridiquement,  je suis sous leur coupe.

  Alors, à tous ceux qui ce matin, attendent après moi,  qu'ils ne s'y méprennent pas,  ça n'est pas eux, que j'oublie, mais la loi, de la République, qui elle, me range régulièrement, sous le pallaisson, là, où l'on range ce qui dérange.

  Alors, respectez moi, et moi, je vous respecterai.

  Alors, votre coupe du monde, vous voulez vraiment, que je vous explique, où est ce que vous vous la collez ?

 

  Bonjour madame.

Pourriez vous, je vous prie transmettre à madame EKPO, merci.

 Madame, pourriez vous, s'il vous plait, me tenir informée,  de la decision de Justice, quia été prise, à mon sujet, le 13 juin 2018.

 Oui, je sais, j'ai un avocat, mais sa secrétaire m'a tenu des propos, qu'aucune pièce justificative, " émanante du juge", ne vient etayer.

 Je suis donc dans le flou le plus total, alors, je ne peux plus envisager le moindre projet, à cause de celà.

 Je vous ai envoyé un devis concernant un éditeur, pour la relecture d'un ouvrage sur l'aviculture , alors qu'il semble retenir leur intérêt, comment justifiez vous, que personne de l'UDAF, vous ou un remplaçant, n'y ait donné une suite favorable, alors que cette parution doit avoir lieu, "si tout va bien", à l'automne ?

 Je vous donne le lien, d'une association, à laquelle je souhaite adhérer, d'autre part, en ce qui concerne la tutelle.

  Considerant le fait, que vous me privez de carte de crédit, tout autant de chéquier,  et considerant le fait, que mon argent, se trouve à la CAISSE D'EPARGNE, au CREDIT COOPERATIF, et au CREDIT AGRICOLE, quelque soit la banque, je ne peux donc pas le faire, ce que je considère comme une atteinte à ma dignité.

http://www.advttutelles.com/p/fonctionnement-de-lassociation.html

 Cordialement, Françoise Niel Aubin.

Protection des majeurs.

Protection juridique, tutelle, curatelle.

Le système actuel, tel qu’il est fait, a pour ambition de protéger des adultes pour qui, certaines personnes ou une seule, ont considéré qu’une mesure de protection serait souhaitable.

Si je dis « une personne », beaucoup ignorent qu’il peut ne s’agir, que d’une seule, et même, une seule qui serait parfaitement étrangère, à l’environnement affectif, la famille, ou les amis, de la personne concernée.

 Des abus, ont été commis en ce sens, et au moment où je vous parle, il est probable que ça soit encore le cas.

 En vérité, en dehors d’un diagnostic avéré, à base de tests réellement déterminés, l’évaluation propre à déterminer, si une personne devrait être protégée ou pas, est parfaitement subjective, et je dirai même, infiniment plus subjective que beaucoup l’estiment.

 Sans citer de cas particuliers, ca je n’ai plus en mémoire, les noms des personnes concernées, une multitude de cas, qui m’ont été rapportés, confirment à 100%, ce que je prétends là.

 Une artiste, bohême (ça n’est pas moi, là, dont je vous parle), en difficulté financière, uniquement pour cause de galere, liée à son activité professionnelle, ramant côté travail, mais ne souffrant d’aucune addiction, de quelque nature que ce soit, et moins encore, d’addiction liée strictement à l’argent, s’est vue ainsi subir l’humiliation d’être mise sous tutelle, avec pour cette unique raison, une incapacité totale à pouvoir désormais prétendre, vivre de son art, pour cause de souffrance psychologique uniquement liée au fait qu’elle ait été mise sous protection….

 Un autre, ancien chef d’entreprise, criblé de dettes, lui aussi, littéralement détruit psychologiquement par une tutelle, qui là encore, en plus de son endettement, l’enfonce psychologiquement, alors que nulle part, il n’apparaissait qu’il eut été, à un quelconque moment, irresponsable dans sa gestion, et lui, comme le cas précèdent, ne souffrant d’aucune pathologie, qui serait addictive liée à l’argent.

« Peut être, était ce mieux » ?

   On est en droit de le penser, effectivement, sauf que dans un cas comme dans l’autre, en aucune façon, la mesure de protection par l’intermédiaire d'un tuteur ou d’un curateur, n’a proposé la moindre stratégie, pour parvenir à éponger les dettes d’une part, mais surtout, a généré chez la personne « protégée », une souffrance psychologique, qui absolument jamais, ne fait l’objet de la moindre considération, de la part des juges des tutelles, pas plus que de la part des tuteurs ou curateurs.

 Un autre, encore, un peu naïf, en couple,  s’est vu spolié de ses bien, sa compagne, ayant « fait des dettes », comme on dit, en son nom…

 Est-ce là, une raison suffisante, pour mettre quelqu’un, sous tutelle ?

 Est-ce que, dans une telle hypothèse, où le couple eût été marié, le conjoint spolié, est mis sous tutelle ou curatelle ?

 Est-ce que le conjoint, ou le concubin spolieur, est lui inquiété, d’une façon ou d’une autre ?

 Non, certainement pas, et je ne dirai même, « probablement, absolument jamais ».

 Le véritable problème en vérité, réside dans le fait que la loi, en matière de protection juridique est conçue, pour être adaptée, à une population vieillissante, et donc, en situation de faiblesse psychologique ou mentale, due à une veritable pathologie, liée à ce vieillissement, uniquement.

 De façon inconsciente, donc, dans l’esprit des juges des tutelles, plusieurs points n’entrent absolument pas en considération.

 Les juges des tutelles, en général, considèrent que la nécessité d’être mis sous protection, serait généralement irréversible.

 C’est bien là un drame véritable, qui incite à se méfier grandement, de la moindre mesure de protection.

 En effet, d’une part, la souffrance psychologique ressentie par la personne protégée, n’est prise en compte nulle part.

 Je le sais mieux que personne, ma curatrice, m’ayant affirmé que juridiquement, ça n’était pas de son ressort.

 La juge rencontre la personne protégée, le moins possible, le minimum pour tout dire, que la loi l’impose.

 Ainsi, une personne sous protection, qui ne se manifeste jamais, ni aux yeux de son tuteur, ni aux yeux de la juge, par un simple courrier, ne rencontrera la juge des tutelles, que tous les 5 ans ! Ce qui peut sembler, absolument incroyable.

 il y a quelques mois, nous avons appris, dans les fait divers, une chose horrible.

 une adulte, une femme, autiste, qui avait été mise, sous protection juridique (je ne sais à quel degrè), elle elevait seule, son unique enfant.

 on l'a retrouvée chez elle, completement prostrée, avec son enfant, mort, sur le canapé....

 Elle etit sous protection juridique....

 J'imagine, que ça a du ronfller grave, quelque part.

 Quand la mesure de protection n'est accompagnée d'aucun suivi d'ordre psychologique, voilà à quoi, ça mène.

 Un énorme malentendu, d’autre part, pourrit littéralement, le concept même de mise sous protection d’un adulte, qui réside dans la possibilité ou non, de travailler.

 Selon le degré de protection décidé, par le ou la juge (ce sont  le plus souvent, des femmes), tutelle, curatelle renforce, curatelle simple), le tuteur ou curateur a le droit, de contrôle total et absolue sur l’argent, qui arriverait sous forme de salaire, sur le compte en banque de la personne protégée.

 Dans l’hypothèse d’un tuteur ou d’un curateur abusif, ce qui existe, il serait parfaitement envisageable, que ce dernier abuse de son pouvoir, et spolie littéralement la personne protégée.

 Alors, que faire ?

 Ecrire au juge des tutelle pour l’en avertir.

  Dans cette hypothèse, et selon le retard accumulé, par les greffiers, ces services souffrant comme tous les autres services, d’un manque criant de personnel et de moyens financiers, il faut alors des mois dans le meilleur des cas, pour que la juge prenne les choses en main.

  Un autre problème se pose aussi, relativement au travail, qui réside dans le fait qu’une personne, qui se sent humiliée par le fait d’avoir été mis sous protection, sera prédisposé, à  travailler au noir, de telle sorte, qu’elle soit payée en liquide, uniquement de telle sorte que le curateur ou le tuteur, n’ait aucun moyen de vérifier en quoi que ce soit l’activité financière de la personne protégée.

 Je vends, chaque lundi matin, quelques plantes, fleurs vivaces, que je cultive dans mon jardin.

 C’est là, une forme de tolérance qui est accordée par l’administration, pour toute personne cultivant son jardin, et (ou), un potager.

 Cette tolérance est salutaire, et j’en jouissais bien avant d’avoir été mise sous protection, en vendant mes plantes dans les foires à tout.

 Il est clair, que je n’ai jamais été susceptible, de m’enrichir par ce moyen.

  J’ai une notion de la justice, et du respect de la loi, qui, aux yeux de certains, pourrait sembler quasiment obsessionnelle.

 J’ai la naïveté, de  considérer cela plus comme une force, que pour une faiblesse.

 Plus on respecte la loi, et plus on est crédible politiquement, pour pretendre la changer.

 Le vrai problème, résiderait alors dans le fait qu’il n’est pas certain que toutes les personnes protégées, aurait mes scrupules.

 Je considère, que dans certains cas, surtout quand les relations entre tuteur et curateurs,  face aux personnes protèges, sont difficiles, cette mesure de protection, peut littéralement, être perçu, comme un encouragement au travail au noir, voir un encouragement, à se livrer à bon nombre de trafics en tout genre, au point que dans certains cas, une véritable économie du foyer parallèle doit exister.

 Il est bon de noter, que de prétendre trouver un travail, d’autre par en étant sous mesure de protection, a pour conséquence, que  de potentiels employeurs, refusent le challenge, la personne étant jugée, comme irresponsable pénalement, cette lecture qu’il en fait d’autre part, prédispose un éventuel employeur à pratiquer, ce qu’on appelle aujourd’hui, de l’esclavage moderne.

 Le vrai problème en vérité, réside dans le fait que d’être mis sous protection, a pour conséquence une véritable souffrance psychologique, souffrance qui est entièrement niée, ou sous-estimée, que ce soit de la part des juges, ou que ce soit de la part des tuteurs ou curateurs.

 Ils prétendent, eux, que face à cette souffrance, un suivi psychologique doit être envisagé.

 La seule méthode, qui vaille pour faire face à n’importe quelle souffrance, quelque soit sa nature, consiste à déterminer, en premier lieu, l’origine ou les origines.

 Des lors que l’origine ne consiste plus que dans la mesure de protection elle-même,  alors, « la messe est dite », et la consultation d’un psy, est parfaitement obsolète, et surtout, inutile.

 Au sujet du fait travailler, ou pas, alors, qu’on est sous protection.

 La cour de cassation a statué, sur le fait qu’en aucune façon, quiconque était en droit d’interdire à une personne protégée, d’exercer un travail.

 Sur la papier, je dois reconnaitre que ce sont là des propos admirables, qui rehaussent la notion de dignité humaine, dans le cadre d’une mesure de protection, de la part de la cour de cassation.

 Hélas, trois fois hélas, dans la pratique, il en va tout autrement.

 En effet, dans la pratique, il est quasiment impossible en général de pouvoir y prétendre….. Puisque la loi considère le protégé, comme incapable de gérer son propre argent alors, toutes profession qui induit, une quelconque forme de responsabilité, y compris sans qu’il ne soit question d’argent, vous écarte d’emblée de la moindre chance d’être embauché.

 Cette perception de la mesure de protection, échappe à 100%, aux juges des tutelles, et à tous ceux, qui font pourtant évoluer la loi, sur ce sujet.

 Vous en doutez ?

 Portez plainte, contre une personne sous protection, et vous verrez, ce que cela donne, quelque soit le dommage, quelque soit la raison, le procureur, vous répondra, 6 mois, ou quelques années plus tard, que cette personne est juridiquement considérée comme irresponsable, puisqu’elle a été mise sous protection.

Comment imaginer alors, une seule seconde, que dans ces conditions, alors, une personne sous protection, puisse pretendre être embauchée, où que ce soit ?

 ha, c'est sûr, "sur le papier", ça en jette>. >mais dans les faits, ça ne tient bsolument pas la route.

 Alor, on vous dit, "oui, oui, bien sûr, que vous avez le droit, de signer un contrat de travail"... Donc, en somme, pour être femme de menage, eboueur, un truc, le moins valorisant possible, theoriquement, ça doit être possible, mais des qu'il s'agit, de quoi, que ce soit, où vous auriez, une quelconque responsabilité, on dira "ha, non, madame, ça ne va pas être possible".

 Mais ça, on vous garde bien de vous le préciser.

Pour ce qui concerne les points, qui doivent faire l’objet d’amélioration de la loi, ils devraient à mon avis, être les suivants.

 D’une part, tenir compte  de la surcharge de travail d’une part, des organisme de tutelle, chaque tuteur ou curateur, devant s’occuper, d’un nombre trop importants de protégés, ce qui a pour conséquence, que le plus souvent ils sont injoignables.

 Moi, quand j'envoie un mail à ma curatrice, j'ai de ses nouvelles, environ, pour un mail sur 10, et encore, je suis optimiste, autant, "degagez, vous dérangez".

 Résultat des courses, ben, je ne demande plus rien, donc, le dialogue est inexistant.

La communication deficiante , toujours, est à l’origine de malentendus et d’incompréhension, entre les protégés et les tuteurs ou curateurs, ce qui provoque une souffrance psychologique sous estimée, en ce qui me concerne le jvis ça, comme une forme de harcelement, et ça dure, depuis plus de 10 ans.

 La juge est au courant.

 J’ai oui dire, que des conciliateurs étaient envisagés, mais je n’en sais pas plus sur le sujet.

 Il y a d’autre part, un vrai problème au sujet des suivis de comptabilité, de la part des personnes protégées, dans l’hypothèse où ils habitent dans des endroits reculés, sans voiture, quelquefois, ou en zones blanches, ces derniers ne pouvant jamais avoir les renseignements demandés, ou l’aide nécessaire, au seul prétexte que le seul interlocuteur connu des administrations, ne sont que les organismes de tutelle….

 Cette situation lancinante, est perçu, par la personne protégée, à chaque fois, qu’on lui renvoie ce sempiternel, « il faut voir avec votre tuteur », comme une insulte à  son encontre, une humiliation qui se répète à la moindre sollicitation vers une administration.

 Ces humiliations, pendant toutes ces années constituent, un ressenti de harcèlement, pur et dur, dont la justice se moque parfaitement, tout autant que la juge des tutelles, ou que la juge, ou le juge concerné.

 L’autre point, qui doit faire l’objet, d’une grande attention concerne la possibilité de réversibilité de la mesure de protection, qui doit être facilitée.

  Le fait, qu’une personne soit endettée, ou en grande difficulté financière, à  lui seul, ne devrait pas faire l’objet de façon aussi systématique, d’une mesure de protection, comme c’est quelquefois le cas.

 A l’inverse, nous connaissons tous, autour de nous, des personnes souffrant d’addiction au jeux notamment, ce qui relève d’une véritable pathologie psychiatrique, justifiant un traitement et un suivi, et pourtant, jamais le fait de leur suggérer ou imposer d’être mis sous protection,  n’est évoqué. (travail en cours).

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