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Depots de bilan redressement judiciaires et faillites.
On 06/03/2015
Dépôts de bilan, redressements judiciaires et faillites.
Oui, ça fait beaucoup il me semble….
Hier soir ENVOYE SPECIAL leur consacrait une émission.
J’ai trouvé tout à fait interpellant que cette émission ait eu lieu.
En effet considérant l’importance que revêt le fait de vouloir s’accomplir professionnellement, et sachant à quel point, cette démarche de dire « je me mets à mon compte », a à voir avec ce que l’on a de plus intime relativement à la notion de bonheur, de « réussite », (individuelle, familiale sociale, et psychologique), je trouve vraiment d’une remarquable intelligence qu’il en ait été question.
Il est bon de préciser, que de « vouloir se mettre à son compte », a d’autant plus d’importance que sévit le chômage et que donc, certains en période de « non chômage », auraient probablement décidé d’y renoncer.
Je précise que j’ai connu, moi déjà, au début de couple antérieur, cette situation….
Les dégâts psychologiques furent si graves qu’i me poursuivaient encore il y a 10 ans c’est vous dire.
J’ai observé aussi, ce drame autour de moi, dans diverses professions.
En ce qui me concerne le drame était purement psychologique puisque mariée à un homme qui avait un salaire, au bout d’une année d’activité voyant le désastre annoncé financièrement, je décidais d’arrêter.
Chercher à faire un parallèle de cette époque, relativement à l’incompétence de la chambre des métiers (il s’agissait d’artisanat d’Art) me semblerait stupide pour la simple raison, que les temps ont changé et que je ne connais absolument pas quels seraient les problèmes sur ce point….
JE SAIS QUE JE SUIS ATTENDUE SUR CE SUJET AUSSI…. Mais il me semble plus judicieux de parler du phénomène de façon plus générale pour commencer.
J’y reviendrai plus tard.
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Tout d’abord, il est bon de noter quad ans la démarche initiale, il existe plusieurs raisons qui en sont à l’origine…
Certaines sont plus prégnantes que d’autres…..
Selon que la personne s’investit seule, financièrement affectivement (rayer la mention inutile éventuellement), ou bien en couple, ou encore familialement, s’il s’agit d’une activité professionnelle faisant partie d’une valeur transgénérationnelle.
C’est notamment le cas, très souvent dans le milieu agricole ou artisanal.
Dans cette hypothèse, selon le degré d’implication affectif et familial(la génération des parents le plus souvent), et donc éventuellement financier (je parle des reperdissions psychologiques et financières éventuellement, l’échec que je qualifierai moi de « juridique avant tout » est plus ou moins difficile à assumer, pour le ou la responsable.
Oui j’ai bien dit « échec juridique » pour minimiser de façon parfaitement intentionnelle….
Puisque par définition, le fait d’avoir voulu se mettre à son compte quelque soit la branche, et d’avoir échoué s’il est perçu au yeux du responsable juridique comme un échec personnel, il est souvent persuadé, que cet échec le remet en cause lui, ou elle de façon extrêmement grave, et pense, que le regard qu’il inspire est teinté de mépris, de moquerie d’incompétence de gestion, de manque de savoir faire, etc…..
C’est à ce moment justement qu’intervient la notion d’estime de soi qui doit permettre d’avoir une certaine distance,, vis-à-vis de cet échec là….
C’est pourquoi, (ce qui était mon cas) quand on se met à son compte et que cette estime de soi, est déjà fortement ébranlée, on pense à tort que de se mettre à son compte, SERA LA SOLUTION….
C’est pour être franche très exactement la connerie que moi j’ai faite.
Ce qui importe c’est d’avoir toujours à l’esprit que de se mettre à son compte c’est un peu comme partir en guerre ;
Ors si l’on part en guerre, d’une part avec le mauvais compagnon ou mari, ou bien avec une ou des blessures extrêmement graves, il est beaucoup plus difficile de se battre pour la simple raison que la gestion de ces souffrances là accaparent énormément d’énergie. Et c’est donc par définition autant d’énergie qui n’est plus disponible pour l’entreprise qu’on a montée ou qu’on monterait.
J’ai vu dans cette émission que désormais, il existait une cellule psychologique pour venir en aide aux personnes qui sont concernées.
J’avais été informée de cela, il y a un certains temps déjà, et je trouve ça vraiment merveilleux.
Il faudrait que chaque tribunal de commerce puisse le proposer.
Mais je pense moi, qu’il serait encore plus fort et plus efficace d’agit en amont de telle sorte que ayant consulté un psy avant l’inscription et au fur et à mesure que le projet se monte, les failles psychologiques apparaissent alors quitte à renoncer au projet ou à le retarder.
En ce qui concerne le jugement du quidam sur ceux qui déposent le bilan…..
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En dehors de cas, « risibles » d’hommes d’affaire, qui montent du jour au lendemain, une boite de 20 ouvriers spécialisée en plomberie, sanitaires douche, couverture maçonnerie (sans être franc pour autant) assureur, banquiers, tout ça en même temps mais qui se promènent et reçoivent le client en costume v cravate (ne riez pas je vous pris, ou bien je cite des noms…) oui ceux là sont effectivement la risée de monsieur tout le monde ça ne fait aucun doute….
Mais sincèrement, moi que ce soit à mon sujet (d’ailleurs beaucoup de monde ignore parfaitement que j’ai moi été artisan peintre sur soie pendant un an), ou quelque soit, l’activité ormis un boulanger fort doué mais tellement pourri d’ambition qu’il n’avait qu’un désir c’était d’avaler la clientèle d’un rival, situé à quelques kilomètres, ou bien un autre pâtissier qui se tapait la vendeuse derrière le comptoir, comme si le fait de vendre des religieuses, dans sa boutique ne lui suffisait pas……
Ou bien le couvreur, chez qui vous arrivez et que vous tombez sur une assemblée d’assoiffés complètement bourrés à l’heure de l’apéro, et madame qui entre et vous jette un œil façon de dire « évitez l’embrouille, faite comme moi, je me casse »….
Oui, je sais, certains se disent, que je noircis le tableau… Et non je ne noirçis absolument rien…. Je jette juste un voile de pudeur, sur certaines scènes que j’ai observées depuis des décennies, sur ces gens là, de telle sorte que personne ne puisse se trouvé offensé, mais ça n’est même pas ce que l’on nommerait UNE CARICATURE.
Ce qu’il est important de ne surtout pas oublier c’est que l’échec d’une entreprise, a toujours ses raisons. Et que ces raisons sont dans les trois quarts du temps plutôt indépendantes d’une forme d’incompétence ou de lacune de la part de celui ou celle qui entreprend.
Si aujourd’hui, beaucoup d’entreprises, ferment je pense sincèrement qu’au moment du montage du projet, les chambres de commerce des métiers etc, sont compétents et que les banquiers eux sentent aussi je pense fort bien, s’il existe des formes d’entraves véritables, telles, que un alcoolisme caché…. Une mauvaise raison d’entreprendre quelquefois….
Mais ils ne sont pas psychologues. Et un psychologue de métier systématique en consultation me semblerait j’en suis certaine de nature, à rendre le pourcentage d’échecs inferieur et dans l’hypothèse où l’échec, serait inévitable ce dernier serait infiniment moins douloureux psychologiquement.
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Il est important de noter que ça ne risque pas d’être une seule consultation qui soit de nature à vraiment cerner le problème en amont mais bien conformément aux habitudes de travail d’un psy plusieurs consultations… De telle sorte que le psy puisse à un moment dire « je pense que c’est bon, et que vous avez ce projet pour les bonnes raisons ».
Il est important de comprendre vraiment la nécessité de cette démarche, (plusieurs séances) pour éviter « l’évitements » !
Et oui. Parce que par définition, s’il est une chose qu’un « ambitieux égoman » comme dit Louis Chedid, refuse de regarder en face, c’est bien ces propres failles.
Et pour que le psy lui mette le nez dans son caca, et qu’il en sorte grandi, et par la m^me occasion un peu moins con, il n’y a pas d’autre alternative que plusieurs séances.
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8 mars journée de la femme 2015.
On 06/03/2015
Pour commencer je depose cette petition que je vous emande de faire suivre.
http://www.carefrance.org/sitesunhomme
Je precise que la demarchhe qui consiste demontrer par les chiffres en quoi, et comment les femmes,, sont l'avenir de l'homme est une demarche ma parfaitement juste, honnête, et depourvue de la moindre manipulation.....
Je vais y revenir des que possible, pour faire une video, sur le sujet.
On 06/03/2015
J'y reviendrai plus tard quand j'aurai plus de temps.
100 livres pour promouvoir l'Europe.
On 04/03/2015
J'aimerai bien la version en français s''il vous plait.
La Flore Pellerin ne se cultive pas.
On 04/03/2015
Et non la Flore ne se cultive pas, elle pousse sans l'aide de personne, puisqu'elle est sauvage.
http://www.slate.fr/story/93921/politique-culturelle-pellerin
Je comprends fort bien la critique qui lui est faite.
Je pense que son problème réside surtout dans le fait qu’elle n’est pas artiste elle-même elle ne peut donc pas comprendre comment fonctionnent les artistes, de façon générale. Ou bien alors elle cache bien son jeu.
Il est vrai qu’à son corps défendant et compte tenu des contraintes techniques tel internet et l’ensemble des nouvelles technologies de communication et de medias il faut bien reconnaitre qu’on compte sur le ministre le de la Culture bien plus pour appréhender la Culture comme ce qu’elle représente sur le plan économique, et donc tout le droit qui s’y rapporte, que pour appréhender ce qui devrait être à l’origine la seule et unique raison pour laquelle, on s’y intéresse c'est-à-dire ce qu’elle est susceptible d’apporter au public quel que soit son âge….
Certes je ne nie pas que ces aspects soient effectivement importants….Puisque par définition quand un artiste veut vivre de son Art, ça implique que ce qu’il crée soit un minimum « rentable ».
Mais il faut bien admettre que son discours ne serait ce que par son vocabulaire et la perception qu’elle ait de la Culture, semble réellement aux antipodes de ce que l’on est en droit d’attendre, d’une ministre de la Culture.
J’entends par là autre choses que des théories telles qu’énoncées, entièrement dépourvues d’enthousiasme, de volonté, de punch, de désir, et surtout bien pire, de la moindre émulation.
Certes j’entends bien que par égard pour moi, on l’ait « choisie » ainsi…
Comment se fait il, par exemple qu’elle n’ait absolument jamais évoqué les rythmes scolaires qui ont pour mission précisément, de permettre de faire « fleurir » des talents de demain ?
Et bien dans ce cas qu’on me propose son poste, au moins les choses seront claires.
Et pour ce qui concerne, le traitement de « l’industrie » de la Culture, et du droit qui s’y rapporte, je considère qu’elle peut fort bien bosser dans mon ministère.